Date de début
2020 11 25
Date de fin
2020 11 25
Lieu
Maison du développement durable
Thématique
Démarche en développement durable
Type
Panel

Le 25 novembre prochain, à midi, la Maison du développement durable, est heureuse de vous convier au panel « Art, culture, développement durable : L’art sert-il au DD? »

Le développement durable est un concept reconnu à l’intersection des préoccupations économiques, sociales et environnementales.

Comment participer à faire reconnaître la culture comme le quatrième pilier du développement durable?

Comment affirmer le rôle clé des arts et de la culture en tant que vecteurs pour une transition écologique ?

L’hypothèse que l’expérience esthétique peut servir de levier à la transition de notre rapport au monde sera ici mise en perspective par quatre spécialistes qui nous feront part de leurs expériences et de leurs pratiques dans le domaine des arts visuels.

Invité.e.s :

  • Myriam Dion, artiste visuelle Myriam Dion est titulaire d’une maîtrise en arts visuels et médiatiques de l’UQAM. Ses œuvres ont été présentées dans plusieurs expositions individuelles et collectives, notamment au Musée National des beaux-arts du Québec, au Whyte Musuem of the Canadian Rockies, au Sharjah Art Museum et au Rijswijk Museum. Dion est récipiendaire de deux bourses du Conseil des arts du Canada, ainsi que du Post-Residency Award du Banff Center. En janvier 2021, elle participera au programme de résidence de trois mois à la New-York Art Residency and studios (NARS) Foundation. Ses œuvres font partie de plusieurs collections publiques et privées, dont celles du Musée d’art contemporain de Montréal, Loto-Québec, Banque Scotia et Banque TD. Myriam vit et travaille à Montréal, où elle est représentée par la galerie Blouin-Division. Michel Huneault, photographe documentaire et artiste visuel,
  • Dr. Bénédicte Ramade, historienne, critique d’art et commissaire Bénédicte Ramade est historienne de l’art, critique et commissaire indépendante. Elle a consacré son doctorat à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne à une réhabilitation critique de l’art écologique américain et, depuis 2016, ses recherches sont axées sur l’anthropocénisation des savoirs et des œuvres. Depuis son installation au Canada en 2013, elle est chargée de cours dans les départements d’histoire de l’art et d’arts visuels des universités montréalaises francophones (UQAM et Université de Montréal), après avoir enseigné une décennie au sein du département de sciences des arts de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Les questions environnementales forment le cœur de sa recherche curatoriale et éditoriale : Acclimatation sur la nature artificielle (CNAP, Villa Arson, Nice, 2009-2010) ; Rehab. L’art de re-faire consacrée au recyclage (Fondation EDF, Paris, 2010-2011) ; The Edge of the Earth. Climate Change in Photography and Video analysant l’Anthropocène à l’heure climatique (Ryerson Image Centre, Toronto, 2016) ; Apparaître-Disparaître sur les grands effets de l’Anthropocène (Fondation Grantham pour l’art et l’environnement, 2019).
  • Mathieu Regnier, conseiller muséal et collectionneur Mathieu Régnier œuvre dans le domaine de la durabilité environnementale depuis près de 25 ans. Il s’intéresse à la place de l’art dans le champ de la communication scientifique et ceci, particulièrement dans le contexte des défis environnementaux contemporains. Monsieur Régnier est Conseiller principal, communication et expositions à la Biosphère, musée de l’environnement. Avant son entrée en fonction, il a œuvré à son compte comme consultant pendant près de 12 ans. Auparavant, il a notamment travaillé à l’Organisation mondiale du commerce, au Programme des Nations Unies pour l’environnement, chez oikos International et chez Chatham House. Il possède une maîtrise en relations internationales (M.A) de l’Institut universitaire des hautes études internationales (Suisse) et une maîtrise en technologies environnementales (MSc) de l’Imperial College (Angleterre).
  • Michel Huneault, photographe documentaire et artiste visuel Établi à Montréal, Michel Huneault est un photographe qui s’intéresse au développement, aux traumatismes, à la migration ainsi qu’à d’autres réalités géographiques complexes, incluant les impacts des changements climatiques. En plus de l’image fixe, il recourt dans son travail à des éléments immersifs, avec un parti pris humaniste et intimiste.

Animatrice :

  • Maude-Elvire Gravel, étudiante à la maîtrise en mobilisations et transfert des connaissances, INRS, Chaire Fernand-Dumont sur la culture

Date :

Mercredi 25 novembre 2020

Horaire :

De 12h à 13h15

https://www.facebook.com/plugins/video.php?height=314&href=https%3A%2F%2Fwww.facebook.com%2FMaisondeveloppementdurable%2Fvideos%2F699244977392749%2F&show_text=false&width=560

Les suggestions en art environnemtal de nos panélistes sont à découvrir !

Myriam Dion vous propose :

Le travail d’Andy Goldsworthy en général

La série «Underworlds» d’Isabelle Hayeur 

L’œuvre «Sometimes making something leads to nothing» de Francis Alÿs 

Mathieu Régnier vous invite à découvrir :

Cette œuvre de Reitzenstein

La série « Incinérations » de Greenfort  

Un Ikeda

Michel Huneault a choisi :

Chris Jordan (photographie), série Midway 

Tree Hugger (expérience VR), par Marshmallow Laser Feast

L’oeuvre de Christo et Jeanne-Claude (Land art), de la planification aux œuvres finales, en passant par les contradictions et controverses.
 

Pour vous inscrire : cliquez ICI

Merci !

La Maison du développement durable remercie Hydro-Québec, partenaire principal de la Programmation, et la Ville de Montréal.

Partager
À l'affiche